Après la chute de l'URSS, les cubains font face à une pénurie de nouriture, leur grand frère ayant céssé de leur fournir materiel engrais et nouriture. L'île était spécialisée dans la production du sucre nécéssaire au gros ours.
Les cubains voient leur consomation calorique passer de 2600 calories par jour à environ 1000-1500, en gros ils mangent deux fois moins. Pour faire face, ils décident de changer leur agriculture et autorise des jardins en ville pour faire pousser des légumes. Agriculture bio, faute de pouvoir s'approvisioner en produits chimiques les cubains developpent des methodes "naturels" basées sur les insectes notamment pour remplacer les pesticides. Les travailleurs ont le marché suivant : un minimum de production est imposé est part pour la colectivité, le reste est pour eux et ils peuvent le manger et/ou le vendre.
Finalement ils retrouvent à peu près leur niveau de consomation de l'ère soviétique, et le nombre estimé de personnes sous-nourrit passe de 8 à 3% selon l'UNFAO.
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The good life in Havana: Cuba's green revolution